Disparition des abeilles - la fin d'un mystère!POUR UN MORATOIRE SUR LES PESTICIDES NEONICOTINOIDES Vous aussi vous pouvez changer la donne et arrêter ce scandale sanitaire. Signez et faites signer cette pétition. Avant le passage au Sénat de la loi biodiversité prévu pour juillet, nous remettrons vos signatures à Ségolène Royal, Stéphane Le Foll, et Marisol Touraine. https://formulaires.fondation-nicolas-hulot.org/fra/stop_pesticides/ajax/validerFormulaire Pourquoi et comment réduire les pesticides? "Il me reste 100 abeilles dans ma ruche" La mortalité a déjà beaucoup frappé les abeilles ces dernières années mais on devrait battre des records cet hiver. Isabelle Garnier, apicultrice charentaise, constate le drame en ouvrant une de ses ruches. Reportage de Stéphane Place, correspondant d'Europe 1 dans le sud-ouest. "Il me reste 100 abeilles dans ma ruche" by Europe1fr ![]() Le mystère de la disparition des abeilles. Enquête de Mark Daniels sur un désastre écologique mondial qui pourrait mettre en péril l'humanité toute entière. Aujourd'hui, un tiers de notre nourriture dépend directement de l'abeille, le pollinisateur agricole le plus important de notre planète. Or, depuis plusieurs années, des millions d'abeilles disparaissent. Pourquoi ? Depuis une vingtaine d'années, un mal mystérieux frappe les abeilles. Les pertes se chiffrent en millions. Les conséquences en sont désastreuses : faute de pollinisation, les arbres ne produisent plus de fruits et tout l'écosystème est menacé. Natacha Calestrémé mène l'enquête afin de démasquer le vrai coupable de cette catastrophe écologique annoncée. ![]() ![]() Le constat est alarmant : que ce soit en Europe, en Asie ou en Amérique du Nord, les abeilles meurent par millions. L'enquête est ouverte et la réalisatrice Natacha Calestrémé se penche sur ce phénomène mystérieux dont l'enjeu est ni plus ni moins la survie de toutes les espèces végétales et animales — l'homme compris. Plusieurs pistes sont abordées par le documentaire. Le Varroa destructor, acarien nuisible aux abeilles, prolifère de façon anormale. Ce parasite originaire d'Asie, arrivé en Europe au début des années 1980, s'attaque aux ruches déjà affaiblies. Par conséquent, il ne peut être considéré que comme le facteur aggravant d'une crise plus profonde. Des chercheurs américains ont ensuite mis en cause la grippe chez les abeilles, virus à traiter avec des médicaments et facile à enrayer. Mais, là encore, les morts inexpliquées des butineuses se poursuivent. La raison est donc à chercher ailleurs : par exemple, du côté des activités humaines. Ainsi, les impulsions électromagnétiques émises par les antennes-relais semblent agir sur les abeilles comme des brouilleurs. Les ouvrières, désorientées, incapables de se déplacer correctement, perdent le chemin de la ruche et meurent. La théorie est pertinente car ces insectes, à l'instar de nombreux autres animaux, utilisent le champ magnétique terrestre pour s'orienter. Mais aucune étude ne vient appuyer cette thèse. ![]() Les pesticides mis en cause. La piste privilégiée est alors celle des pesticides. Pris séparément, les produits employés sont en théorie inoffensifs pour les abeilles, mais, combinés, les insecticides et les fongicides utilisés pour protéger les cultures se révèlent l'arme du crime idéale. Les ouvrières sont exposées à ces substances chimiques et seules les plus solides parviennent à survivre. Mais celles-ci rapportent à la ruche des pollens contaminés, fatals pour les larves. On assiste alors à un dialogue de sourds entre apiculteurs et agriculteurs. Les uns dénoncent l'utilisation abusive d'armes de destruction massive contre leurs précieuses abeilles. Les autres cherchent une issue économiquement viable à un problème qui les touche directement. Car les agriculteurs sont eux aussi les victimes de ce fléau. Sans abeilles, pas de pollinisation et donc pas de fruits ni de légumes. Triste ironie pour l'humanité... La nature retourne les armes de la production de masse contre ses créateurs. A trop tirer sur la corde, l'homme crée lui-même une contradiction dans ce processus. En voulant protéger ses récoltes des nuisibles, il enraye du même coup les agents de reproduction des plantes. Natacha Calestrémé entraîne donc le téléspectateur sur une véritable scène de crime. Les victimes : des poignées entières d'abeilles mortes ; les témoins : des apiculteurs en colère et des agriculteurs abasourdis ; les experts : des scientifiques perplexes... Tous les ingrédients sont ici réunis pour un polar écologique aux conséquences dramatiques pour l'avenir de la vie sur Terre. Concrètement, la disparition des abeilles ne signifie donc pas que l'espèce humaine mourra de faim, puisque 60 % des cultures - principalement les céréales comme le blé, le maïs et le riz - ne sont pas concernées. Mais la diversité alimentaire en serait profondément altérée. Le déclin des abeilles expliqué en 3 minutes by Le Monde.fr Observé depuis les années 1990, le déclin des abeilles inquiète de plus en plus. Chaque hiver ce sont parfois jusqu'à 35 % des colonies qui disparaissent. Cette hécatombe trouve certes de multiples origines, mais les plus importantes sont bien humaines. Explications. ![]() VUE SUR LE NET Les hypothèses expliquant la disparition des abeilles Les hypothèses expliquant la disparition des abeilles Le Syndrome d'effondrement des colonies d’abeilles, ou encore CCD (pour “colony collapse disorder”) décrit la disparition massive d’abeilles domestiques. Elles ne rentrent pas dans leurs ruches et des colonies entières sont décimées, sans que les apiculteurs ne retrouvent de cadavres. Depuis une cinquantaine d’années, en Europe, le phénomène va croissant. Les Etats-Unis sont encore davantage touchés. Les causes, elles, restent encore mal connues. Etat des lieux avec Henri Clément, porte-parole de l’UNAF, syndicat d’apiculteurs : SOURCE ARTE.TV 27/05/2014 Des scientifiques s’inquiètent de la disparition des abeilles Les chercheurs de l’Institut national de recherche agronomique (INRA) communiquent autour de leur travail sur la situation préoccupante des abeilles. D’après leurs estimations, l’Europe a besoin de 13,4 millions de colonies d’abeilles en plus pour son agriculture. « Un monde sans abeilles ? N'y pensons pas ! Bien sûr, les produits de la ruche, miel, pollen, cire, nous manqueraient. Mais surtout, ces super-pollinisateurs sont indispensables à l'agriculture » commence le communiqué de l’Institut national de recherche agronomique (INRA). SUITE ET SOURCE http://www.rse-magazine.com/Des-scientifiques-s-inquietent-de-la-disparition-des-abeilles_a667.html 15 mai 2015 - 11H06 Les apiculteurs américains ont perdu 42% de leurs colonies d'abeilles en un an En savoir plus ici http://www.france24.com/fr/20150515-apiculteurs-americains-ont-perdu-42-leurs-colonies-dabeilles-an
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mais voilà les grosses multinationales ne l'entendent pas de cette oreille et les gens continuent a utiliser des saloperies dans leur jardin..
c'est si magnifique de les observer..l'homme est le pire destructeur sur terre, il le payera cher un jour