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UN ASCENSEUR POUR L'ESPACE




La  station - spatiale- internationale L'astronaute italien Paolo Nespoli a pris des photos haute définition très rares de l'ISS juste avant son retour sur terre .

Un Ascenseur pour l'Espace.

Un ascenseur pour l'espace. Non, ça n'est pas une façon de parler. Le projet de construction d'un ascenseur spatial est réellement en cours de développement par quelques équipes de scientifiques autour du monde et par pas moins de trois agences spatiales : la NASA américaine, la JAXA japonaise et l'ESA européenne ! Ce projet pourrait aboutir d'ici quelques décennies, l'horizon 2050 environ. Certains optimistes parlent même de 2020, mais ils doivent surestimer les crédits qu'ils recevront ! Il s'agirait littéralement de tirer un câble depuis l'espace jusqu'au sol pour pouvoir faire grimper des cabines le long de ce câble ! Si le concept a été popularisé par Arthur C. Clarke en 1978 dans son roman "Les fontaines du paradis", il avait rapidement été abandonné car il avait été calculé qu'il n'y avait pas assez de fer sur Terre pour fabriquer un câble d'acier suffisamment solide pour réaliser un tel projet ! Mais désormais, les progrès réalisés dans la science des matériaux laissent à nouveau espérer. Et cela non plus grâce à un métal, mais à une matière synthétique. En effet, depuis quelques années, on commence à savoir fabriquer une matière nanotechnologique beaucoup plus solide que l'acier ou même le kevlar. Basé sur la chimie du carbone, il s'agit de gigantesques molécules en forme de tube qui s'entremêlent, formant ainsi un matériau incroyablement résistant: le nanotube de carbone. Seul problème, on ne sait pas encore fabriquer avec cette matière des câble ininterrompus d'une longueur de... 36'000 km ! Mais les progrès sont quotidiens et on peut espérer que dans quelques décennies, cet obstacle puisse être levé.





l'ascenseur spatial. Mais Comment
ça marche ?

Est ce possible. La question qui vient immédiatement à nous autres terriens , peu habitués aux forces qui règnent dans l'espace, concerne le poids de l'installation. Car un câble de 36'000 km plus la station d'arrivée, ça doit être sacrément lourd ! Comment le faire tenir dans l'espace sans qu'il retombe ? Et bien c'est sans compter sur la force centrifuge. Car pour rester en orbite, n'importe quel objet doit avoir une vitesse de rotation qui compense exactement la gravité qui règne à la distance à laquelle il se trouve de la Terre. En effet, la rotation produit une force centrifuge qui compense exactement la gravité. C'est pourquoi ces objets se trouvent en orbite. Et c'est pourquoi il y règne l'apesanteur : aucune force ne s'exerce sur eux. A toutes les altitudes, la gravité est différente. Et ainsi, à toutes les altitudes la vitesse de rotation nécessaire pour annuler la gravité est différente. Et parmi toutes les altitudes, il n'y en a qu'une seule qui permet aux objets en orbite d'avoir une vitesse angulaire identique à celle de la Terre. Il s'agit de l'orbite géostationnaire, à 36'000 km de la surface de notre planète, soit 3 fois son diamètre. C'est ça qui rend cette orbite particulièrement intéressante. C'est celle par exemple des satellites de télécommunication qui restent ainsi toujours fixes dans le ciel, ce qui permet aisément de pointer une antenne dans leur direction. Et ça serait aussi l'altitude utilisée par l'ascenseur spatial. Car on commencerait par lancer un certain nombre de satellites qui seraient assemblés en une véritable station spatiale. Et c'est depuis cette station que le câble serait déroulé. Ce dernier serait attiré par la Terre et se dirigerait lentement vers la surface. Le poids du câble pourrait alors déstabiliser la station qui se mettrait à tomber avec lui, c'est pourquoi il est prévu de lâcher un autre câble avec un poids de compensation dans l'autre direction pour augmenter l'effet centrifuge et rééquilibrer ainsi l'ensemble câble - station. Une fois le sol atteint, il ne resterait "plus qu'à" récupérer le câble et l'arrimer à la station de départ, une plate-forme dans l'Océan. Et alors, l'ascenseur serait prêt pour le premier voyage...



RECONSTITUTION DU SAUT DE FELIX BAUMGARTNER
PAR RED BULL
AVANT L'EXTRAORDINAIRE SAUT!






Un astéroïde au dessus de l'Atlantique L'Agence spatiale américaine, la NASA vient de déclarer qu'un astéroïde mesurant environ 35 pieds (10 mètres), soit la taille d'une maison, frôlera la terre.le 27 juin 2011 —
2011 MD est un petit géocroiseur qui fait moins d'une dizaine de mètres de diamètre et un peu plus de 60 tonnes. Il a été découvert pour la première fois le 22 juin 2011 par les télescopes robotiques du réseau LINEAR basé au Nouveau Mexique à Socorro Un astéroïde mesurant entre cinq et vingt mètres de diamètre a "frôlé" la Terre lundi, à quelque 12.000 kilomètres au-dessus de l'océan Atlantique, indique la Nasa. L'objet céleste, baptisé 2011 MD, a suivi la trajectoire en forme de boomerang calculée par avance par les scientifiques.


Douze mille kilomètres représentent 30 fois la distance qui sépare la Terre de la Station spatiale internationale, à 400 km en orbite, mais seulement 3% des quelque 400.000 kilomètres reliant la Terre à la Lune, et une distance infime à l'échelle du système solaire. Une rencontre de ce type se produit environ tous les six ans, précise la Nasa. Même s'il était entré dans l'atmosphère, 2011 MD se serait désintégré et n'aurait provoqué aucun cataclysme, selon l'agence spatiale américaine.(info source LE FIGARO- notre planéte infos)

C'est une page de l'histoire spatiale
qui se tourne.


iscovery, le plus ancien des orbiteurs de la Nasa s'est élancée jeudi du Centre spatial Kennedy près de Cap Canaveral en Floride avec six astronautes à son bord pour cette ultime mission. C'est le 39ème vol de la navette en 26 ans de service. Il a été retardé de quelques minutes. A l'origine, il était même prévu le 5 novembre dernier mais il avait été annulé pour des raisons techniques .



Discovery est partie pour sa dernière mission navette- Discovery


Discovery, qui effectuait son dernier vol, de retour. Discovery a effectué son premier vol le 30 août 1984. Elle a réalisé au total 5830 tours de la Terre et parcouru 238 millions de kilomètres. La navette devrait prendre le chemin du musée, probablement celui de l'Air et de l'Espace de la Smithsonian Institution à Washington à la fin de l'année. Double bang supersonique Deux minutes avant de se poser, Discovery avait annoncé son arrivée par un double bang supersonique. La navette a fait son approche par l'Amérique Centrale, survolant l'ouest de Cuba et le golfe du Mexique, avant d'atteindre la Floride. En pilotage automatique durant toute la descente, le commandant de bord Steve Lindsey a ensuite pris manuellement les commandes de l'orbiteur, alors un gros planeur de cent tonnes, afin de l'aligner avec la piste. Pour ce faire, il a dû effectuer un virage de 252 degrés. La télévision de la NASA a retransmis en direct les images de l'approche finale depuis le cockpit de l'orbiteur. Quelques secondes après que la navette se fut posée, un parachute rouge et blanc s'est déployé à l'arrière pour freiner sa course. . À l'issue de son 33e et dernier vol, Atlantis sera mise à la retraite comme les navettes Discovery et Endeavour précédemment. Les trois vaisseaux seront exposés dans des musées aux États-Unis.